Dans le confort douillet d’une maison en Australie, Louise Drolz partage depuis plusieurs mois son espace avec un invité inattendu. Son nom ? Stanley. Un nom banal pour une grenouille sauvage qui a élu domicile dans la salle de bain des invités, plus précisément à l’intérieur des toilettes.
Stanley, l’habitant le plus insolite de cette demeure, a élu domicile dans la cuvette des toilettes, un fait aussi étonnant qu’amusant. Comment cette grenouille est-elle arrivée là ? Une question qui reste sans réponse pour Louise Drolz, maîtresse de maison intriguée. Nichée sur les rives du port de Sydney, entourée par une forêt tropicale littorale, sa demeure accueille régulièrement des visiteurs à quatre pattes. Il semblerait que Stanley, séduit par l’endroit, se soit aventuré dans la salle de bain et ait trouvé refuge dans les eaux calmes des toilettes. Un choix aussi surprenant que stratégique pour échapper aux prédateurs.
Depuis lors, Stanley a établi son royaume souterrain dans le système de canalisations en contrebas, tout en réservant la cuvette des toilettes comme résidence principale. Louise Drolz, observatrice attentive de cette cohabitation insolite, partage ses impressions sur les réseaux sociaux. Elle confie avoir tenté de déplacer Stanley à plusieurs reprises, sans succès. Stanley, fidèle à son nouveau foyer, revient toujours, préférant visiblement le confort de la salle de bain à l’agitation du jardin.
La maison de Drolz compte plusieurs toilettes, ce qui lui permet de réserver celle de Stanley à l’usage exclusif de son hôte inattendu. Elle a même adapté les lieux pour le rendre plus accueillants à Stanley, abaissant le niveau d’eau pour faciliter ses allers et venues. Un geste qui révèle l’attachement de Drolz à cet intrus un peu particulier.
Aujourd’hui, les toilettes de Drolz sont devenues le petit étang privé de Stanley, un havre de paix inattendu au sein de cette demeure australienne. Et si Stanley semble parfaitement heureux dans son nouvel environnement, sa présence insolite ajoute une touche de fantaisie à la vie quotidienne de Louise Drolz. Une cohabitation surprenante, mais étonnamment harmonieuse, entre l’humain et le sauvage.
