fbpx

Un chiot étonne le vétérinaire en survivant à une injection létale d’euthanasie dans un refuge surpeuplé

Chaque jour, dans tout le pays, plusieurs chiots sont euthanasiés dans des refuges surpeuplés. Un chiot nommé Rudolph en fait partie.

Rudolph avait sept mois lorsqu’il a été emmené dans un refuge de l’Oklahoma.

Malheureusement, il n’a été adopté par personne et a donc été placé sur la liste des chiens à endormir.

Rochelle Dougall est la directrice adjointe du King’s Harvest Pet Rescue. Il s’agit d’un refuge sans cruauté situé à Davenport.

Lorsque Rochelle a entendu parler de Rudolph, elle a su qu’elle devait faire quelque chose pour le sauver. Cependant, il était peut-être trop tard.

Lorsque Rudolph a été emmené dans la salle où les euthanasies étaient pratiquées, le vétérinaire lui a fait une injection comme à tous les autres chiens.

Il s’agissait d’une surdose d’un anesthésique puissant qui devait rendre le décès de Rudolph indolore.

Cette injection était censée endormir le chiot en peu de temps. Le vétérinaire a quitté la pièce et est revenu à une vue à laquelle il ne s’attendait pas.

Rudolph n’était pas mort. Il était toujours vivant et bougeait. Le vétérinaire savait qu’il ne pouvait pas injecter à Rudolph une autre dose du médicament.

L’une des raisons pour lesquelles le médicament n’a pas fonctionné est que le vétérinaire ne l’a pas injecté dans une veine. Le médicament n’était peut-être pas assez puissant pour avoir un impact sur le chien.

Cette situation n’est pas très fréquente, mais elle peut se produire lorsqu’un chien a une forte volonté de vivre.

Rochelle a pris contact avec le refuge et a fait savoir au vétérinaire qu’elle voulait donner un foyer à Rudolph.

Dès qu’elle a emmené le chien au refuge de Davenport, il a été proposé à l’adoption. Il n’a fallu que deux jours pour que quelqu’un lui donne un foyer aimant.

Joyce Valentine est une femme de 50 ans qui a voulu prendre Rudolph chez elle pour qu’il soit aimé et pour qu’elle ait un compagnon.

C’est un chien fort et il aime jouer chaque jour, ce qu’il n’aurait peut-être pas pu faire si les médicaments avaient fonctionné au refuge.